Artiste multidisciplinaire irano-canadienne de Montréal, Anahita Norouzi s’intéresse aux questions de déplacement en lien avec des notions comme celle de l’apatridie et de l’hybridité. L’exposition est une réflexion troublante sur les dimensions écologiques, culturelles et sociales des questions migratoires. L’artiste et la commissaire proposent une exploration sous l’angle des plantes non-indigènes qui sont apparues au Québec dans le prolongement des flux migratoires des populations.