L’exposition Jardin trouble : étude d’un enracinement découle d’un travail sur les dimensions écologiques, culturelles et sociales des questions migratoires sous l’angle des plantes non indigènes du Québec. La diversité végétale doit-elle primer ? Doit-on la réguler pour protéger des plantes locales parfois plus fragiles ? À partir de quand une plante exogène devient-elle canadienne à part entière ? Qu’est-ce qu’une « mauvaise » herbe ?